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9 septembre 2014 2 09 /09 /septembre /2014 17:10

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« Etre capable de porter un projet de société, dire

ce qu’est un socialisme moderne, ce n’est pas un

débat secondaire, c’est essentiel. Et vital."





Tous les socialistes doivent y contribuer soit individuellement en déposant leur contribution individuelle ou collective sur link : www.les-etats-generaux-des-socialistes.fr

 

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2 juin 2014 1 02 /06 /juin /2014 14:30

europeenne_parlement.jpgles-sieges-France.pngeuropenne-ca2rs_02.jpgresultats-yvelines.png

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2 juin 2014 1 02 /06 /juin /2014 14:17
colloque-sur-la-place-des-femmes.jpg
Colloque sur la place des femmes aux postes de décisions publiques
 Mercredi 4 juin 2014 Préfecture de Paris & Ile de France (5 rue leblanc Paris 15ième)
 
inscription obligatoire sur entrevuesparisiennes2014@gmail.com
 
Au programme :  (Accueil dès 13h45)
14h15 : Discours de Monsieur le préfet de la région d'Île-de-France, préfet de Paris.
14h30 : Table ronde 1 : "Communication politique : la femme a-t-elle une image à défendre ?"
Avec Edith Cresson, Ancien Premier ministre
Marie Donzel, journaliste-blogueuse Ladies&Gentleman, conseillère en égalité femmes-hommes
Laurent Rossini, conseiller en communication politique (Agence Plebiscit)
Animation : Philippe Moreau-Chevrolet, conseiller en communication politique (MCBG Conseil), journaliste (Nouvel Obs, L'express, Canal +)
 15h45 : Pause gourmande
 
 Avec Hélène Duchêne, experte politico-militaire du Quay d'Orsay, présidente de Femmes et Diplomatie
Brigitte Grésy, Secrétaire générale du Conseil supérieur de l'égalité professionnelle, Instance consultative Indépendante placée auprès du Premier ministre
Myriem Mazodier, directrice de la commission "femmes" des anciens de l'ENA
Nathalie Pilhes, Secrétaire Générale à la Délégation interministérielle à la Méditerranée, auteure de Femmes-hommes, enfin l'égalité ?
17h30 : Cocktail 
16h15 : Table ronde 2 : "D’une parité imposée à la réalité de terrain : le quotidien des femmes fonctionnaires" 
 Avec Hélène Duchêne, experte politico-militaire du Quay d'Orsay, présidente de Femmes et Diplomatie
Brigitte Grésy, Secrétaire générale du Conseil supérieur de l'égalité professionnelle, Instance consultative Indépendante placée auprès du Premier ministre
Myriem Mazodier, directrice de la commission "femmes" des anciens de l'ENA
Nathalie Pilhes, Secrétaire Générale à la Délégation interministérielle à la Méditerranée, auteure de Femmes-hommes, enfin l'égalité ?
17h30 : Cocktail 
 
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16 mai 2014 5 16 /05 /mai /2014 09:25

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15 mai 2014 4 15 /05 /mai /2014 19:35

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Voter le 25 Mai prochain et  choisir  le PSE et Martin Schulz. Pour la première fois notre vote désignera le prochain Président de la Commission européenne puisqu'il sera élu par les députés que nous allons élire.

 

Avec 31 listes en Ile de France et presque autant dans les autres régions, le risque est grand de voir se perdre un très grand nombre de voix (avec un résultat inférieur à 5% des exprimés, les listes ne peuvent pas avoir d’élu). Il faut donc, plus que jamais, concentrer nos votes sur le candidat qui porte une autre orientation de la politique européenne : Martin Schulz.

Dans le message précédent j’évoquais notre proposition pour lutter contre le dumping social.
Je te rappelle aujourd'hui les propositions du Parti Socialiste Européen pour lutter contre les effets négatifs de la « financiarisation » de l’économie :  

- la mise en place de la TTF (taxe sur les transactions financières) qui alimentera le budget européen et constituera l'une de ses  premières ressources propres,

- l'établissement d'une liste noire des paradis fiscaux (avec révocation des licences bancaires  pour les banques  qui y sont présentes et interdiction d'accès aux marchés publics),

- la mise en place de l’union bancaire : renforcement des pouvoirs de contrôle de la BCE, obligation de l'échange automatique  des données bancaires, nouvelle directive pour l'épargne,

- la lutte contre l'évasion fiscale  en obligeant les entreprises à déclarer leurs chiffres d'affaires dans le pays où s'exerce l'activité (cf google) : 100 milliards de ressources  pour l'Europe.

 

V2 8 pages EUROPE ILE DE FRANCE V2 8 pages EUROPE ILE DE FRANCE     

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15 mai 2014 4 15 /05 /mai /2014 19:26

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La campagne pour l'élection de nos députés européens est lancée depuis plusieurs mois et pourtant les médias communiquent très peu sur cette campagne. Cette élection est pourtant extrêmement importante pour tous les européens et plus particulièrement pour ceux d'entre eux qui souffrent de l'austérité que l'orientation actuelle de la Commission Européenne impose aux Etats. Les Socialistes, les Sociaux- démocrates et les Progressistes Européens souhaitent réorienter l'Europe, la politique européenne.

A cette fin, ils proposent dans toute l'Europe:

1. un même programme : "Le Manifeste, et

2. un Président de la Commission Européenne: Martin Schulz (Social-Démocrate allemand, Président depuis 2012 du Parlement Européen).

Le silence des médias donne l'impression, à chaque électeur de notre pays, que rien ne va changer, alors que pour la première fois, en votant pour nos députés européens nous choisirons également le Président de la Commission Européenne.

Le traité de Lisbonne modifie le mode de désignation du Président de la Commission, en renforçant le poids du Parlement européen dans le processus.

Les chefs d'État et de gouvernement proposeront au Parlement européen un candidat à la présidence de la Commission, " en tenant compte des élections au Parlement européen". Le candidat devra ensuite approuvé par le Parlement européen à la majorité des membres qui le composent (soit 376 députés sur 751). Une procédure qui se rapproche de celle existant dans les régimes parlementaires. Le Conseil européen garde la possibilité juridique de proposer un candidat indépendamment du résultat des élections, mais le Parlement peut alors refuser.

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9 mai 2014 5 09 /05 /mai /2014 15:07

loi-taubira.jpegLe 10 mai 2001, la loi Taubira, reconnaissant la traite et l’esclavage comme crimes contre l’humanité, est définitivement adoptée par le Parlement français.

 

Les principaux points portent sur la reconnaissance comme crime contre l’humanité de « la traite négrière transatlantique ainsi que la traite dans l’océan Indien d’une part, et l’esclavage d’autre part, perpétrés à partir du XVe siècle, aux Amériques et aux Caraïbes, dans l’océan Indien et en Europe contre les populations africaines, amérindiennes, malgaches et indiennes» et sur l’obligation de donner « à la traite négrière et à l’esclavage la place qu’ils méritent » dans les programmes scolaires, mais également dans les programmes de recherche en histoire et en sciences humaines.

Selon un décret de 2006, chaque année une cérémonie doit être organisée le 10 mai à Paris, dans chaque département (avec le choix du lieu par le préfet) «ainsi que dans les lieux de mémoire de la traite et de l'esclavage».

 

Depuis 2007 dans la commune de Villers-Cotterêts (Aisne), ville qui abrite la tombe du général Dumas, né esclave à Saint-Domingue et père d'Alexandre Dumas la municipalité (socialiste) commémore l’abolition de l’esclavage.

 

Or aux dernières élections municipales, c’est le Front National qui l’a remporté et  l'élu FN refuse d'organiser, le 10 mai, dans sa ville, des célébrations autour de l'abolition de l'esclavage. 

 

«Je perçois (cette commémoration) comme étant un peu à la mode, dans le cadre d'une auto-culpabilisation permanente, d'une culpabilisation systématique, alors que l'esclavage existe encore ailleurs dans le monde, malheureusement».

Cela fait partie des multiples décisions antirépublicaines prises par les élus FN depuis le 30 mars 20014, dans les villes où ils sont élus.

 

Heureusement un collectif d'associations commémorera quand même samedi l'abolition de l'esclavage à Villers-Cotterêts (Aisne).

 

 

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23 janvier 2014 4 23 /01 /janvier /2014 18:41

Le Parlement a définitivement adopté hier, par un vote de l'Assemblée nationale, le projet de loi organique interdisant, à partir de 2017, le cumul de fonctions exécutives locales avec le mandat de député et de sénateur et le projet de loi interdisant le cumul de fonctions exécutives locales avec le mandat de représentant au Parlement européen.

Le projet de loi organique a été voté par 313 voix pour, nettement au-dessus de la majorité absolue des députés (289 voix), nécessaire pour passer outre l'opposition du Sénat  225 députés ont voté contre, 14 se sont abstenus et 25 n'ont pas pris part au scrutin sur ce texte, qui ne s'appliquera pas aux élections municipales de mars prochain.

Lorsque la loi s'appliquera, les parlementaires ne pourront plus être maires, adjoints au maire, présidents ou vice-présidents d'un établissement public de coopération intercommunale, d’un conseil départemental (ex-conseil général), d’un conseil régional ou d’un syndicat mixte. En revanche, les parlementaires pourront continuer à être conseillers municipaux, départementaux ou régionaux.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 10:58

benoit-hamon1.jpgVous trouverez ici des extraits du discours de Benoit Hamon à l'université de rentrée de "Un Monde d'Avance" lme 28 septembre 2013 au Vieux Boucau.

 

"La réalité aujourd’hui, c’est un chômage de masse ; c’est aussi la pauvreté des travailleurs ; c’est le surendettement des foyers ; ce sont des difficultés d’accès au logement. Bref, la réalité aujourd’hui, c’est que les inégalités augmentent.

Fragilisés par ce contexte social et économique, nos concitoyens ont le sentiment que l’Etat n’est plus là pour les protéger et qu’ils sont livrés à eux--‐mêmes, dans une impasse.

 

Ce sentiment d’abandon des citoyens est l’un des fruits des politiques libérales mises en œuvre en France et en Europe. Voilà trente ans que l’Etat est dessaisi de ses missions, soit par conviction, soit par consentement aux obligations européennes, elles-mêmes fondées sur cette croyance libérale, que l’Etat recule,  qu’il protège moins,  que l’on démantèle l’Etat et que la Commission européenne nous dicte comment faire.

 

Mais le libéralisme n’a pas seulement fait reculer l’Etat. Il a aussi fait reculer les corps intermédiaires : syndicats, mouvements laïques, mutuelles, éducation populaire, associations. Tous subissent cette désaffection du collectif.

 Nous devons rassurer les Français en faisant revivre nos valeurs que sont la liberté, l’égalité, la fraternité. Ce que la gauche au pouvoir doit comprendre et affirmer, c’est que le sens de notre arrivée au gouvernement ne pourra ni ne devra s’incarner uniquement dans un bulletin de notes de la Commission européenne. Un bulletin qui aurait pour appréciation : «Elève consciencieux. A bien réduit les déficits. Mais peut mieux faire».

 Nous devons faire admettre que toute dette n’est pas illégitime. La Commission européenne doit impérativement changer son mode d’évaluation des déficits. L’Union européenne a besoin d’un budget digne de ce nom : elle vient d’en adopter un qui ne permettra pas la pleine réalisation de ses ambitions. Elle a besoin d’une fiscalité harmonisée : elle encourage toujours le dumping fiscal. Elle a besoin d’une convergence sociale qui complèterait la libre  circulation des personnes : cette convergence se fait mais vers le moins disant. L’Europe abîme notre modèle social et le remplace par un modèle «low -cost» dont les exemples sont nombreux. L’Europe fait du «low-cost» sur le droit du travail. Enfin, l’ultime étape des renoncements à notre modèle protecteur : l’accord de libre-échange bilatéral avec les Etats-Unis.

Ainsi, l’Union européenne qui devait nous protéger et nous rendre plus forts nous a finalement affaiblis par ce qu’elle s’est elle-même consumée sur l’autel des dogmes libéraux. Les promesses européennes ont été brisées et, au total, en produisant l’effet inverse de ce pour quoi elle avait été pensée, l’idée européenne meurt à petit feu.

 Nous devons changer l’Europe. Mais nous devons aussi construire un changement durable pour la France. Pour cela, nous ne pourrons compter que sur nos forces.

 La question des mots de la politique est au cœur de notre problème, car les termes fondamentaux du débat politique ne sont plus ceux du peuple : réduction des déficits ,taux de prélèvement obligatoire, coût du travail, compétitivité des économies… Ce sont les mots du pouvoir financier, pas ceux du peuple. Depuis quand ne parlons-nous plus de justice sociale, de conditions de travail, de qualité du service public, de droits sociaux,  d’école laïque…? Est-ce que ces mots n’ont plus de sen s? Est-ce qu’ils ne désignent plus les conditions de l’émancipation et de l’égalité ?

Nous devons donc parler à gauche, avec des mots qui parlent au peuple, et qui permettront de restaurer la confrontation idéologique avec une droite toujours plus à droite. Mais nous devons aussi agir sur le réel.

 Si on est réaliste au moment de constater que les gens sont exaspérés par la délinquance, il faut être aussi réaliste quand les mêmes disent qu’ils ne sont pas assez payés. Ce que j’attends de la gauche, c’est qu’elle porte l’ensemble de cette demande sociale. J’attends de la gauche que sa conception de l’ordre public intègre sans de faillir l’ordre public économique et l’ordre public social, et pas seulement sur l’ordre sécuritaire. La gauche ne postulera jamais l’impossibilité d’intégrer progressivement une population.

 Je sais que certains militants s’interrogent sur l’action du gouvernement, sur son cap, même parfois sur ma présence en son sein. Ce qui m’anime tous les jours dans mon action ministérielle, c’est de redonner du pouvoir aux Français.

 Il faut réussir. Protéger les Français. Leur redonner du pouvoir sur leurs vies. C’est ainsi que nous pourrons reprendre la marche du progrès social et du renouveau démocratique dont notre pays a besoin.

 

Pour le discours complet et pour plus de renseignement sur un mode d'avance : link

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 13:27
Les raisons de la crise actuelle sont maintenant bien connues par les économistes.
C’est bien la politique de libéralisation et de dérégulation de Reagan et de Tchatcher , suivant les théories de Friedman qui ont conduit à cette situation.
·         cela a permis aux détenteurs de capitaux de rechercher « à tout prix » le meilleur rendement, allant jusqu’à créer des outils financiers complétement déconnectés de l’économie réelle,
·         de ce fait la part de la valeur ajoutée revenant aux salaires n’a fait que décroitre
·         les inégalités n’ont fait que croitre,
·         et pour maintenir la croissance il a fallu s’endetter
part-du-travail.pngdette-americaine.png
Les pauvres ont payé pour maintenir le taux de rentabilité des capitaux.
Joseph E. Stiglitz, prix Nobel d’économie, l’explique de façon extrêmement claire dans ses ouvrages « le prix de l’inégalité » et « le triomphe de la cupidité ».
le-triomphe-de-la-cupidite.pngle-prix-de-l-inegalite.jpg
Comment apporter remèdes à cette situation :
 
·         en rééquilibrant la part de valeur ajoutée revenant au travail,
 
·         en réduisant les inégalités
 
·         et en régulant les marchés financiers.
 
Un certain nombre de mesures proposées par le collectif Roosevelt 2012 vont bien dans ce sens :
 
·         Monétariser les vielles dettes : faire qu’elles coûtent moins chères
 
·         Créer un impôt européen sur les dividendes (pour éviter le dumping fiscal et limiter la rente de capital)impot-sur-les-benefices-copie-1.pngimpot-sur-les-benefices-copie-2.png
 
·         Oser une révolution fiscale (plus progressif, imposant plus les revenus du capital, …)
 
·         Lutter contre les paradis fiscaux
 
·         Séparer les banques de dépôts des banques d’affaires (de façon à ne plus garantir la spéculation des opérations financières)
 
·         Créer une taxe sur les transactions financières
 
·         Investir massivement dans le logement (cela fera baisser les loyers qui sont des rentes de capital, et donnera du pouvoir d’achats aux loueurs)(loyer moyen en France 12,4 €/m2, en Allemagne 8,4 €/m2)
Je vous invite aussi à prendre connaissance des autres mesures proposées
 
impot-sur-les-benefices.png
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